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Une résolution relative à l'affectation des comptes AEP-ASC a été voté à l’unanimité : 20 Votants – 20 Pour (Lire ici la résolution 📎)
Mandatés par les élus à l’occasion du CSE Siège des 29 et 30 avril derniers, les experts du cabinet Acante sont venus restituer les conclusions de leur rapport concernant le projet de réorganisation des Services Généraux Parisiens. A ce titre, les SGP prendront le nom de Direction de l’Environnement de Travail (DET). Des changements dans l’organigramme doivent faire évoluer la structuration des équipes et leurs rattachements hiérarchiques pour pallier les dysfonctionnements remontés. Les experts ont donc eu à charge d’éclairer les élus sur l’ensemble des données manquantes mais aussi d’analyser les conséquences du projet sur les conditions de travail et la santé des salariés. Et leurs conclusions n’ont pas surpris les élus. Non seulement, le projet apparaît comme flou, mais comme à chaque fois il a été conçu par la direction, sans que celle-ci n’ait jugé bon de consulter les salariés, de les associer ou encore de les informer. Aucune évaluation de la charge de travail n’a été effectuée, alors que les missions et les périmètres d’intervention évoluent et que des suppressions et des créations de poste sont annoncées. Aucune fiche de poste n’a été transmise aux élus, ceci alors que 4 postes vont être créés. Pas un mot sur la situation des salariés en détachement dans le service. Aucune prise en compte des difficultés relationnelles, elles sont pourtant de notoriété publique, elles ne sont même pas évoquées. Aucune mention des missions attribuées aux nouveaux services QHSE, RSE, pas plus que du département technique et du département utilisateurs. Aucune information sur les futurs départs en retraite et leurs potentiels remplacements. Et pourtant ce projet est sur la table depuis le début de l’année ! L’absence de communication génère du stress et de la démotivation liés à un sentiment de manque de reconnaissance et donc, une ambiance dégradée. Pour les experts, il est plus que nécessaire qu’un dialogue soit engagé avec les salariés. Ce projet concerne une équipe dont 20 % des effectifs est en situation de handicap. Il est développé dans un contexte anxiogène justifié par les réorganisations successives de l’entreprise, mais aussi par des enjeux politiques, qui font peser de lourdes menaces sur l’avenir de l’audiovisuel public et donc sur ses salariés. La bonne volonté du responsable du service ne permettra pas à elle seule de faire disparaître les risques psycho sociaux, associés à ce projet. Pour les élus, comme pour les Experts, Il est urgent de mettre en place un plan d’actions, ils préconisent de :
Un avis dans ce sens est voté à l’unanimité : 17 Votants – 17 Pour (Lire ici l’avis📎)
Le CSE a été l’occasion de présenter le rapport de la CSSCT qui s’est tenue le 15 mai dernier. Plusieurs points ont été abordés :
A la suite de 2 accidents de vélo survenus à FTV, la direction avait mis en place un groupe de travail réunissant des membres de la DSQVT, de la CSSCT, de la D2S et des SGP pour les analyser. Cela avait alors permis de déterminer des actions de prévention. Cette initiative est saluée par les membres de la CSSCT, la direction souhaite l’élargir à d’autres accidents du travail pour améliorer la prévention.
21 catégories de risques professionnels y ont été répertorié (risques liés à l’électricité, risques psychosociaux, risques sur l’eau ou en bordure d’eau, risques liés aux horaires atypiques, risque du travail isolé, etc.). Objectif : servir de base à l’élaboration du document unique d’évaluation des risques professionnels.
Le taux d’absentéisme à MFTV en 2024 s’élève à 5,94 % avec un nombre de jours d’absence moyen par salarié de 21,7. Il est le plus élevé à la direction de l’information même s’il a baissé par rapport à 2023. Comme à l’échelle nationale, les absences ont tendance à être plus longues avec une influence du facteur âge. Le nombre d’arrêts de travail de 1 à 3 mois a augmenté ( + 0,53 % d’absentéisme à la Fabrique en 2024, par exemple). Les élus regrettent que les motifs des arrêts longs ne leur soient pas communiqués.
En mars dernier, une personne en situation de handicap se déplaçant en fauteuil a été contrainte de descendre les marches pour accéder au bâtiment MFTV côté Valin. En cause : le problème d’accès à la clef d’utilisation de l’ascenseur, le fonctionnement défaillant de celui-ci mais aussi l’absence de solution de secours en cas de panne. Depuis, une boîte à clefs a été installée à l’intérieur des locaux auprès des agents de sécurité pour qu’ils puissent intervenir sans délai. Un technicien dédié est désormais chargé de la maintenance de l’ascenseur. Pour autant cet ascenseur n’est toujours pas réparé, ce qui choque les élus. La direction assure faire le nécessaire et travailler parallèlement à la recherche de solutions alternatives, comme la mise en place d’un système de chenille pour permettre l’accès à l’immeuble FTV côté Valin. Les élus demandent à la direction de trouver rapidement une solution efficace pour faire face à de nouvelles pannes. Ils notent également le mauvais état de l’ascenseur extérieur côté Delbarre et son absence de signalisation. Ils demandent à la direction de faire le nécessaire pour corriger cette situation.
Mais le gros point abordé au cours de cette séquence a été celui des tours aéroréfrigérantes car les conditions de travail dans l’immeuble MFTV sont particulièrement difficiles en ce moment : salles de montage, de mixage, bureaux administratifs, cuisines… personne n’est épargné ! Certains éprouvent plus de difficultés que d’autres à travailler dans de telles conditions (la température a atteint les 34° dans certains locaux) et le cabinet médical est fortement sollicité. La direction explique avoir informé la DRIEAT à la suite de résultats d’analyses inquiétants sur les tours aéroréfrigérantes. Celles-ci font en effet l’objet d’un contrôle à minima mensuel. Par suite de ces résultats, la décision a été prise de mettre les tours à l’arrêt et d’informer la DRIEAT qui mène actuellement une enquête sur une contamination à la légionellose. La direction l’affirme : « à aucun moment, les tours de France Télévisions n’ont été désignées comme étant responsables de cette contamination mais toutes les mesures ont été prises pour les assainir. » Les tours 1 à 4 ont été arrêtées et traitées sans qu’aucun signe de légionellose n’ait été détecté. Un système de secours a été installé sur le trottoir rue Delbarre mais il ne permet pas d’assurer la ventilation et la climatisation de l’ensemble du bâtiment. Ces tours ont été redémarrées le 17 juin, mais seule l’aération a été relancée, pas la ventilation ! Un nouveau prélèvement a été effectué, la direction attend les résultats de l’analyse pour remettre les tours en service et ainsi permettre le bon fonctionnement de la climatisation. Les tours 5 et 6 sont elles aussi à l’arrêt : elles sont actuellement traitées. Concernant les dernières tours, le protocole devrait être totalement réalisé d’ici le 30 juin, ce qui laisse présager un retour à la normal au 15 juillet. Vu la gravité de l’alerte et les conséquences sur les conditions de travail de l’ensemble du personnel de France Télévisions, les élus demandent qu’un point d’étape leur soit présenté lors du CSE du mois de juillet. D’ici là, la direction devrait avoir des nouvelles de la DRIEAT et savoir précisément ce qui est à l’origine de cette contamination à la légionellose. Les élus ont voté à l’unanimité une résolution pour acter ces engagements. 18 Votants – 18 Pour (Lire ici la résolution 📎)
La direction est venue présenter aux élus son projet de déménagement du service Culture de la Rédaction nationale ainsi que le réaménagement partiel de franceinfo : TV. Le service Culture va s’installer au 4ème étage, au cœur de la rédaction (à proximité de la salle de conférence de rédaction de France 2, et à la verticale des salles de montage et du Pc Info) dans des bureaux où était installée l’équipe de 13h15. La raison ? Son implantation actuelle, au 3ème étage, à proximité immédiate de franceinfo, dans un lieu de passage ne permet pas aux journalistes de travailler dans de bonnes conditions. Cette volonté de déménagement a donc été présentée comme une action « gagnant/gagnant » : d’un côté, le service Culture retrouve une place au sein de la rédaction nationale, de l’autre, franceinfo récupère de l’espace et notamment, un espace de repos très attendu pour ses équipes. Les élus remarquent cependant que le nouvel espace dédié au service Culture fait 7m2 de moins que l’actuel. La direction se défend : « l’espace décloisonné donnera une sensation de volume. » Et d’ajouter : « chacun aura bien son propre bureau : ce ne sera pas un flex-office. » 11 placards (contre 16 aujourd’hui) seront également mis à disposition des collaborateurs pour pouvoir archiver la documentation. Enfin, la situation d’un salarié PMR induit la consultation préalable de l’ergonome. L’environnement de travail est présenté comme plus agréable grâce à une meilleure organisation des bureaux sans oublier un gain en tranquillité et en sérénité (moins de passage, plus de concentration) sans perte de luminosité. Sur ce point, les élus alertent la direction : les espaces de repos des techniciens prévus par Campus dans la zone, risquent de générer du passage et du bruit. Côté franceinfo, la chaîne souffre d’un manque cruel d’espace depuis sa création et les équipes sont éparpillées entre le 3ème, le 2nd et le 4ème étages, dans des bureaux parfois très sombres et éloignés du cœur de la rédaction. Ce déménagement est dont une bonne nouvelle ! En récupérant l’espace dédié aujourd’hui au service Culture, la chaîne bénéficiera de plus de surface, de plus de lumière, de plus de confort de travail pour davantage de cohésion d’équipe. De nouveaux espaces dédiés au directeur de la rédaction, à la cellule programmation de l’antenne, aux journalistes spécialistes et éditorialistes, au 11/13 et 10/13 WE sont désormais prévus. Ce projet de déménagement qui tient compte des contraintes budgétaires et ne prévoit aucuns travaux. Il sera coordonné de concert par la rédactrice en chef du service Culture de la rédaction nationale et le secrétaire général de la rédaction de franceinfo. Les équipes en ont été informées. Sa mise en œuvre est prévue dès le 20 juin. S’ils saluent cette initiative, les élus s’interrogent néanmoins sur la pérennité de ce projet pour franceinfo dont la régie devrait déménager au niveau 0.
La 4ème édition du Tour de France Féminin se déroulera à sur le sol français, du 26 juillet au 3 août. Cette édition débutera le 26 juillet en Bretagne et traversera la France en diagonale pour s’achever, après neuf étapes, au cœur du Val d’Abondance, à Châtel en Haute-Savoie. Le signal international du Tour de France Féminin 2025 sera réalisé par le car UM2 de la Fabrique qui réalisera également les émissions produites de la ligne d'arrivée. Un car caméra complétera le dispositif pour l’étape 8 au Col de la Madeleine. En amont, le vendredi 25 juillet est prévue une intégration à Plumelec des moyens techniques avec les partenaires et les prestataires. Concernant la couverture de la course :
La configuration de ce Tour de France Féminin induit des contraintes spécifiques liées à l’aspect itinérant du TDF (installation et démontage quotidiens des matériels techniques) avec une difficulté de remplacer les salariés. De plus, les équipes doivent se déplacer chaque soir vers le site de l’étape suivante : les temps de transport entre les villes d’arrivée sont donc aussi à prendre en compte. Une demande de dérogation du temps de travail hebdomadaire à 60h a donc été formulée aux élus du CSE Siège. Les élus ont voté une résolution à l’unanimité et souhaitent un retour sur le réalisé dès que possible. (Lire ici la résolution 📎)
Vote sur l’approbation des comptes du CSE 2024 : Comme chaque année, le bureau du CSE présente en instance, la politique sociale et culturelle menée au cours de l’année écoulée ainsi que les comptes du CSE. Pour rappel, le CSE reçoit des subventions de la direction d’un montant de 2,2 % de la masse salariale. 1,4 % de cette somme est reversé au CIORTF en vertu d’un accord signé par les OS et la direction. La part du budget réservée aux activités sociales et culturelles correspond donc à 0,8 % de la masse salariale soit 2 130,9 K€ pour 2024. Le CSE, bénéficient de réserve accumulée au cours de la période COVID, le budget 2024 a donc été élargi. Les événements marquants :
Désormais, tout salarié peut bénéficier des activités sociales et culturelles dès le premier jour de son contrat. Cette décision est tombée après le vote du budget prévisionnel du CSE et a quelque peu déstabilisé le bureau du CSE, qui a dû s’adapter pour tenir les comptes. Il a ainsi décidé de revoir les systèmes d’attribution des ASC, de modifier les plafonds, les barèmes, de définir des périodes d’inscription, et de limiter le subventionnement à 40 % du montant réel des prestations proposées.
Cette cafétéria est très appréciée des salariés, en témoigne sa fréquentation. Le hall foyer est devenu un lieu beaucoup plus festif qui accueille désormais de nombreuses manifestations.
L’arrivée d’un prestataire extérieur a été vécue par les salariés de la restauration comme une forme de concurrence qui les a poussés à adapter leurs offres et à engager des changements qui s’avèrent bien reçus par les salariés-clients du restaurant de la Maison France Télévisions.
Cette section compte désormais 86 adhérents, répartis sur les clubs athlétisme basket et foot.
La raison ? La décision de la Cour de cassation a fait bondir le nombre de bénéficiaires des ASC (France Télévisions Studio recours de façon importante aux non-permanents), le CSE Siège a préféré laisser FTVS gérer cette situation.
Principales opérations ASC 2024 :
2779 salariés ont participé à l’arbre de Noël 2024. Au total, la charge de Noël, (bons + arbre de Noël) a représenté la somme de 708 200 €
Chaque enfant à la charge d’un salarié entre 6 et 19 ans inclus, bénéficie d’une enveloppe de subvention de 80 €. Cette année 983 personnes ont pu en bénéficier.
1 452 demandes de chèques vacances ont été formulées au cours de l’année 2024. Cela représentait pour le CSE, un budget de 262 800 €.
104 dossiers ont été pris en charge dans le cadre du CESU.
49 605 places ont été vendues au cours de l’année, subventionnées à hauteur de 40 %. 173 abonnements ont été achetés.
47 000 € ont été investi dans le subventionnement de spectacles.
Au total 569 billets subventionnés à hauteur de 50 % ont été vendus aux salariés, soit un investissement de 32 200 € pour le CSE.
Au cours de l’année 2024, le CSE a financé une soirée sur la péniche Annette K au mois de juin, qui a accueilli (989 convives), une soirée organisée à « la baie du Roi » pour France Télévisions Studio à Vendargues, et une soirée sur la péniche, les maquereaux pour France Télévisions Studio Paris. La dépense totale a été de 192 900 €.
Au total Disneyland, le jardin d’acclimatation, l’Aquaboulevard, le parc Astérix, le SpeedPark, le zoo de Beauval et le parc zoologique de Paris on séduit 10 196 personnes, soit 255 100 € d’investissement pour le CSE.
4 980 € ont été versées au titre de la subvention, sport/ loisirs
444 bénéficiaires ont eu la chance de voyager en 2024 sur six destinations (New York, Hauteluce, Islande, Crète, Londres, Vienne-Strasbourg, Avignon). La participation du CSE à ses voyages, s’est élevée à 314 500 €.
Les subventions pour les hébergements de vacances ont bénéficié à 237 personnes.
113 dossiers ont été validés pour la période estivale, 63 sur la période hivernale. La participation du CSE pour l’ensemble de ces locations s’est élevé à 186 600 €.
Les différents appartements du CSE ont été occupés pendant 541 nuits au total au cours de l’année 2024. La participation des salariés s’est élevée à 43 900 €. Les charges du CSE, sur l’ensemble de ses appartements, ont grimpé pour atteindre la somme de 97 900 €.
À travers l’association Omnisport CSE siège, le CSE verse des subventions dont le montant s’est élevé à 21 000 € pour 2024. Le CSE subventionne également des cours proposés en Visio, soit un investissement de 10 500 € en 2024.
Écriture, chorale, dessin, studio de musique, conversation anglais : ces activités ont représenté un budget de 26 300 €.
Une prestation très recherchée par les salariées ! 805 séances ont ainsi été dispensées au cours de l’année 2024, pour un budget de 10 900 €.
118 rendez-vous ont été honorés pour un budget total de 7 800 €. Voilà une photographie assez complète des dépenses opérées par les élus du CSE pour la partie activité sociale et culturelle. Mais le CSE est également une instance politique, dont la mission est de défendre l’emploi, les conditions de travail, la santé et la sécurité des salariés et dans ce cadre-là, le CSE a également des dépenses qu’il opère, notamment pour réaliser des expertises lorsqu’il a besoin d’un regard éclairé sur un projet proposé ou pour attaquer la direction en justice, lorsque celle-ci ne respecte pas ses engagements. Pour le fonctionnement de l’instance politique, le CSE bénéficie d’un budget dit budget AEP. La subvention AEP correspond à 0,22 % de la masse salariale de l’entreprise. Pour 2024, son montant s’est élevé à 586 000 €. Si le financement des expertises est en règle générale partagée entre le CSE et la direction, ce n’est pas toujours le cas. Lorsque la direction n’est pas d’accord avec une expertise votée, celle-ci peut être à la charge à 100 % du CSE. Le budget qui lui est alloué lui permet donc de mettre en œuvre des expertises. Au cours de l’année 2024, le CSE Siège a pu financer l’exposition JO mise en œuvre à la cafétéria, majoritairement grâce au budget de fonctionnement. C’est également majoritairement sur le budget de fonctionnement du CSE, qu’est financé le RIE Guadeloupe, cette course qui célèbre l’abolition de l’esclavage et qui permet aux salariés du CSE Siège de rencontrer les élus et les salariés des Outre-Mer. Le budget fonctionnement du CSE permet également de former les élus, de les équiper d’outils adaptés (ordinateurs notamment) afin de leur permettre d’accomplir leur mission dans les meilleures conditions possibles. Il couvre enfin les frais de fonctionnement au quotidien (fournitures, abonnements, déplacements…) Au cours de l’année 2024, les élus ont été très raisonnables puisque le budget est excédentaire. Il a permis le reversement de 10 % de l’excédent sur le compte ASC, une décision qui permettra de moderniser les équipements de la restauration. Troisième budget présenté aux élus au cours de cette instance, le budget de la restauration, un budget difficile à tenir, car les prix des matières premières ont considérablement augmenté. Le restaurant d’entreprise fait également face à des comportements inacceptables : de la vaisselle disparaît régulièrement, on la retrouve dans les poubelles. Cette année, le budget vaisselle a été imputé de 15 000 € supplémentaires pour remplacer les assiettes et les couverts qui avaient été emportés. Les élus ne peuvent que regretter cette situation, dont l’ensemble des salariés assume les conséquences à travers le prix du repas. Les comptes du CSE ont été approuvés par le commissaire aux comptes. Ils ont fait l’objet d’un vote dont le résultat est le suivant : 20 votants, 14 Pour, 6 abstentions Cette présentation des comptes par Olivier, Le Clanche, trésorier du CSE est la dernière car celui-ci a fait le choix de partir en retraite au 1er août. Nous lui souhaitons le meilleur pour cette nouvelle aventure.
2 prestataires du CSE sont en dette vis-à-vis du CSE Siège. Le montant total à récupérer est de 75 000 € (bons cadeaux et places de concert non remboursés). Le CSE a donc fait le choix de donner mandat à Madame Sophie PIGNAL, membre élue titulaire et secrétaire de l’instance, pour engager les actions en justice et réclamer le remboursement de l’intégralité des créances dues, sans préjudice des éventuels dommages et intérêts réparant les manquements contractuels.
Prochain CSE Siège les 9 et 10 juillet 2025
Paris le 23 juin 2025
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